Il baigne dans la musique depuis l'enfance. Ses parents étaient musiciens : son père était bassiste dans le groupe "Island", sa mère était guitariste, son frère était pétri de culture "hip-hop", et il était danseur de première génération dans le groupe Résurrection.

DLY

Beatmaking

l baigne dans la musique depuis l’enfance. Ses parents étaient musiciens : son père était bassiste dans le groupe « Island », sa mère était guitariste, son frère était pétri de culture « hip-hop », et il était danseur de première génération dans le groupe Résurrection.

Il vivait au Vanuatu et quand son frère venait pendant les vacances, il lui ramenait des cassettes et des disques. C’est à ce moment précis qu’est né son amour pour le hip-hop et sa culture. C’est aussi à ce moment qu’il a su qu’il voulait faire de la musique. Mais comment ? Il ne le savait pas encore étant donné qu’il ne savait jouer d’aucun instrument. Mais en 2013, il a découvert le logiciel de musique assistée par ordinateur (MAO) « FLstudio » et c’est ainsi que tout a commencé.

Il est avant tout « Beatmaker », le therme exact qui définit un faiseur de son, un compositeur de beats dans le milieu du hip-hop et du rap en général.

Son style est beaucoup plus varié que ça, c’est un pur mélomane, il aime tous styles confondus, il écoute tout et s’inspirer de tout. DLY peut comprendre la musique et les émotions qu’elle véhicule. Pendant 7 ans, il s’est entrainé à faire diverses techniques de sons et aujourd’hui il est complètement à l’aise avec tous les styles.

Son style ? C’est un style qui peut s’adresser à n’importe quel auditeur(trice) car il peut varier ses créations et viser un groupe de public prédéfini.

Il a participé lors d’un concours de beatmaker qui a eu lieu au Rex et il en est sortie vainqueur.

« C’était plutôt inattendu car je m’attendais pas du tout à la première place du concours, c’est une grande fierté pour moi d’avoir remporté ce concours comme on dit « le travail paie », s’exlame-t-il.

Son parcours est très simple. Comme tout autres beatmakers, il a commencé à se former avec son logiciel de création musicale dans sa chambre. Des heures pleines pour peaufiner, s’améliorer et trouver son identité musicale et artistique.

Il est un grand consommateur de musique « hip-hop » et d’ »électro ». Il est branché plutôt : Young Thug, Playboicarti, XXX tentation, Notorious B.I.G, Avicii, Gigi d’agostino, Black Eyed Peace,..

Mais il ne s’arrêtera pas là, il a actuellement des collaborations avec des rappeurs du pays sur de prochains albums mais aussi, des collaborations avec des rappeurs internationaux dont un en Amérique et le second à Londres.

Des projets ? Son but est de créer son propre label, d’ici-là il devra passer encore par plusieurs étapes et se professionnaliser à 100% que ce soit par sa qualité de mixage, son mastering et l’acquisition de tout le matériel nécessaire dont il a besoin pour produire de manière totalement autonome.

« La musique c’est plus que du son, c’est un accompagnateur de vie, elle t’ambiance, te soigne, te relaxe et t’aide pour ta réflexion ou ton inspiration. Soyez original et ayez votre propre vision artistique, votre marque de fabrique, votre touche personnelle, votre énergie et surtout votre identité ! C’est ce qui vous démarquera des autres ! » nous confie-t-il

 

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