Stan
Stand up & Bboy for life
Crédit photo : Lion Motion
Stan eut son déclic pour le hip-hop en voyant des personnes phares comme Michael Jackson , mais aussi en voyant les artistes de rue capitaliser sur l’art urbain en Nouvelle-Calédonie et au Vanuatu!
En 2006, il a rencontré et intégré les Yamak pacifique, un groupe principalement orienté vers le parkours. En 2010, il a rejoint le groupe de breakdance UBC (Urban breaker crew).
En 2011, il participe avec son crew à certains battle dont le BOTY France où ils décrochent la 6ème place.
Aussi, ils ont organisé des événements afin de maintenir et promouvoir la culture hip-hop.
Crédit photo : JNY Photography
En 2006, il a rencontré et intégré les Yamak pacifique, un groupe principalement orienté vers le parkours. En 2010, il a rejoint le groupe de breakdance UBC (Urban breaker crew).
En 2011, il participe avec son crew à certains battle dont le BOTY France où ils décrochent la 6ème place.
Aussi, ils ont organisé des événements afin de maintenir et promouvoir la culture hip-hop.
Étant parti plusieurs années en Métropole, il a su garder le même état d’esprit de la Calédonie . Il a réalisé un petit rêve en allant jusqu’en finale du Battle Juste Debout, même si cela ne concernait que le sud de la France, c’était un pur plaisir pour lui.
Il a fait partie de certains crews comme Alliance origins et Soulfam sur Montpellier.
De retour au pays, il a pu travailler sur des projets créatifs notamment avec Moebius, Nyian, le conservatoire de danse de Nouvelle-Caledonie, etc.
Il a aussi rejoint une compagnie sur l’Australie nommée Marrugeku avec laquelle il a tourné à l’international et dont le travail tournait autour d’un thème qui leur étaient familiers dans le pays: le processus de décolonisation.
Puis, il s’est intéressé au monde du spectacle vivant et de la création. Actuellement, il participe à des spectacles de compagnies (locales, françaises et australiennes). Grâce à cela, Il découvre une autre façon de créer et de s’exprimer sans oublier ses racines fortement ancrées dans le hip-hop.
Au niveau de la danse, son rêve s’est réalisé aujourd’hui en mixant ses deux univers : le contemporain et le hip-hop. Il continue de travailler en compagnie et souhaîterait pouvoir tourner encore à l’international en participant à des battles! Grâce à cela, il est devenu membre d’un crew Australien nommé Riddim Nation sur Sydney.
“Nous avons besoin de nous rencontrer et de communiquer à l’extérieur pour promouvoir et faire grandir cette culture ici!”
Avec son crew UBC, ils pensent aussi à ramener du monde au pays pour échanger en battles ou autres.
À côté de ça, il travaille sa musique (nom d’artiste Stan dread sur Soundcloud, Youtube et Insta) qui est imprégnée de son parcours dans le hip-hop! Il crée des sons pour spectacles, pour chanteur/se, rappeur/se, projets vidéo, émissions de télévision ou de radio.
Dans cet environnement, il y a aussi quelques petits projets qui prennent forme sur lesquels il travaille encore.
Il souhaiterait de tout coeur créer une musique sur laquelle il pourrait interpréter une danse sur scène avec d’autres personnes! Pour conclure Stan est convaincu qu’il faut travailler chaque jour et persévérer jusqu’à y arriver.
Have mercy
Sur les RS